Pour un autre projet des retraites

Tout le monde a maintenant compris que le projet du gouvernement sur les retraites était synonyme de régression sociale. Aucun·e ministre ou député·e n’arrive d’ailleurs à le défendre.

Le seul argument de la Macronie, encore seriné hier au salon de l’agriculture ? On ne pourrait pas faire autrement ! Une nouvelle version de la célèbre formule de Margaret Thatcher « there is no alternative », pour décourager les opposant·e·s…

Montrons-le contraire ! Des propositions alternatives de financement existent pour sauvegarder et développer notre système de retraites.

Ne nous contentons pas de démonter le projet de Macron. D’autres solutions existent, mettons-les en débat. Ouvrons une autre perspective que le simple retrait du projet gouvernemental.

Ci-dessous, par exemple les propositions de financement du PCF et de la CGT, pour la retraite à 60 ans, avec de bonnes pensions. À débattre largement ?

29 réflexions sur “Pour un autre projet des retraites

    1. Ouest France pointe ce que nous pointions mercredi soir à Eaubonne : l’impact très important des exonérations de cotisations sociales sur l’équilibre du financement de notre système de retraites..

      Un élément à mettre au débat… comme quoi les questions comptables sont des questions de société..

      Il a été dit par le président du c.o.r que les dépenses étaient sous contrôle… qu’en est-il en matière de recettes ?

      https://www.ouest-france.fr/economie/retraites/retraites-comment-de-potentielles-recettes-se-sont-evaporees-fb43b428-b2d8-11ed-9424-745bc29e29f2

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  1. Henri Guaino

    « On se moque du monde »

    Alors que le gouvernement justifie sa réforme par le risque d’un système très déficitaire, qui pourrait atteindre 43 milliards d’euros de dette en 2050, pour Henri Gaino, sur Europe 1 ce dimanche , « on se moque du monde, il n’y a rien dans le rapport d’orientation du Conseil d’orientation des retraites qui peut étayer l’idée d’une faillite du système des retraites dans quelques années : ce n’est pas vrai. »

    Au micro du Grand Rendez-vous, l’ancien député insiste sur « un chiffre qu’il faut retenir : c’est la part des dépenses de retraite dans le revenu national annuel qui est appelé à baisser dans des proportions importantes. Il n’y a pas macro-économiquement de problème. Le problème qui se pose est celui de la façon dont on finance le système de retraites. Il n’y a pas de raison non plus que ça ne porte aujourd’hui que sur le travail : c’est aussi une vraie question à débattre avec les partenaires sociaux et les Français », a-t-il conclu.

    Henri Guaino s’est également déclaré « solidaire » du mouvement de blocage prévu par l’intersyndicale le 7 mars prochain.

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  2. Retraites : 60 ans et 37,5 annuités, c’est possible !

    Depuis 1993, quatre réformes se sont succédés, allongeant la durée de cotisation, révisant à la baisse le calcul des pensions et repoussant l’âge de départ. En 2019, Emmanuel Macron a porté une cinquième réforme, toujours dans le même sens de régression des droits des salariés. Si la forte mobilisation sociale et la crise de la COVID l’ont contraint à reculer, il a annoncé durant sa campagne présidentielle qu’il souhaitait “remettre le couvert” après son élection. Repousser à nouveau l’âge de départ à la retraite, c’est priver une bonne partie des salariés de ce pays d’une retraite décente.

    Pourtant, nous constatons chaque jour dans nos villes et villages que les retraités sont un maillon essentiel et actif de la vie locale, notamment de la vie associative. Pourtant, notre pays compte plusieurs milliers de travailleurs au chômage et de jeunes qui peinent à trouver un emploi. Pourtant, depuis une vingtaine d’années l’espérance de vie dans notre pays stagne, et elle régresse en Europe. Pourtant, le PIB par habitants en France en 2021 est plus de trois fois et demie supérieur à celui de 1981.

    Ce qui est en cause, c’est bien le partage de la valeur ajoutée, fruit du travail des salariés de ce pays. L’outil du partage de cette valeur, c’est la cotisation sociale.

    C’est pourquoi nous défendons haut et fort le retour de la retraite à 60 ans, sur la base de 37,5 annuités travaillées, avec prise en compte des années d’études. Ainsi que l’arrêt des exonérations de cotisation sociale patronale.

    https://petition-retraite.fr/

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  3. Le gouvernement a annoncé le report de l’âge de la retraite à 64 ans avec un allongement accéléré de la durée de cotisation.

    Cette mesure est injustifiée : le rapport du Conseil d’orientation des retraites (COR) l’indique clairement, le système de retraites n’est pas en danger. Il n’y a aucune urgence financière.

    Cette réforme va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs, et plus particulièrement ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l’espérance de vie est inférieure au reste de la population, et ceux dont la pénibilité des métiers n’est pas reconnue. Elle va aggraver la précarité de ceux n’étant déjà plus en emploi avant leur retraite, et renforcer les inégalités femmes-hommes.

    Ce projet gouvernemental n’a rien d’une nécessité économique, c’est le choix de l’injustice et de la régression sociale.

    Renforcer notre système de retraites nécessite en revanche des mesures de progrès et de partage des richesses.

    D’autres solutions sont possibles ! Je soutiens la mobilisation intersyndicale et je m’oppose à cette réforme : « je signe la pétition »

    https://www.change.org/p/retraites-non-%C3%A0-cette-r%C3%A9forme-injuste-et-brutale-reformesdesretraites

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  4. Une bonne retraite, c’est nécessaire, possible et efficace !

    Fabien Roussel, avec le PCF, propose une réforme pour un droit à la retraite à 60 ans avec une pension à taux plein garantie pour une carrière complète, allant de 18 à 60 ans, avec prise en charge des cotisations pour les périodes de non travail (chômage, formation, études, congé parental, maladie, invalidité…). Un projet alternatif plus juste, qui tient compte de la pénibilité, des carrières longues et qui est financé !

    Comment ?
    En faisant cotiser les revenus financiers des entreprises : plus de 40 milliards d’euros
    En donnant de nouveaux pouvoirs aux salariés pour imposer une priorité aux salaires et à l’emploi dans la gestion des entreprises
    En pesant sur le comportement des entreprises par une modulation des cotisations patronales
    En rendant ainsi possible l’augmentation des salaires, l’égalité salariale entre les femmes et les hommes, et donc l’augmentation des cotisations

    Une vie pleine et entière avant comme après soixante ans : c’est le projet de société proposé par le PCF. Il passe par la construction d’un système de sécurité d’emploi et de formation (SEF – en savoir plus) pour toutes et tous conduisant à l’éradication du chômage.

    Travaillons tous, travaillons moins, travaillons mieux.

    Contre la retraite Macron, exigeons un référendum.

    https://unebonneretraite.fr/

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  5. Invité de l’émission Questions politique sur France inter, dimanche 26 février, le député européen les Républicains, François-Xavier Bellamy, a estimé la « clause du grand-père » qui maintient les régimes spéciaux aux salariés qui en bénéficient déjà est une « injustice absolue ».

    Selon lui, cette clause est un « privilège offert par une espèce de grâce divine qu’on ne s’explique pas ».

    https://actu.orange.fr/politique/reforme-des-retraites-la-clause-du-grand-pere-est-une-injustice-absolue-estime-francois-xavier-bellamy-magic-CNT000001ZQJit.html

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  6. Retraites :

    Et François Bayrou fit apparaître un déficit de 30 milliards comme par magie

    Selon le haut-commissaire au Plan, le système de retraite afficherait en réalité un déficit abyssal. Le calcul est grossier et fait l’impasse sur les liens entre le déficit des retraites et le déficit public en général.

    https://www.alternatives-economiques.fr/retraites-francois-bayrou-fit-apparaitre-un-deficit-de-30-milliards-co/00106090

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  7. Orange avec 6Medias, publié le mercredi 01 mars 2023 à 08h40

    Dans un courrier à un élu PS, le ministre du Travail a avoué qu’ »entre 10.000 et 20.000 personnes » seulement seront concernées par la mesure de la pension à 1.200 euros. Mi-février, il avait brandi un chiffre plus de deux fois supérieur, rapporte Le Monde.

    C’est une âpre bataille de chiffres concernant l’une des mesures emblématiques de la réforme des retraites.

    Près de deux semaines après avoir affirmé que « 40.000 retraités » seraient concernés par une pension à 1.200 euros grâce à la réforme, le ministre du Travail Olivier Dussopt a revu à la baisse ses prévisions dans un courrier adressé le 23 février à Jérôme Guedj, rapporte Le Monde. Dans un tweet publié mardi 28 février, le député socialiste a relayé le document envoyé par Olivier Dussopt, dans lequel ce dernier précise qu’ »entre 10.000 et 20.000 personnes franchiront ce seuil » de 1.200 euros.

    Réforme des retraites : Olivier Dussopt (encore) accusé de mentir sur les 1 200 euros par Sud Radio

    Auprès de Franceinfo, mercredi 1er mars, Jérôme Guedj a expliqué qu’il avait « fallu pousser dans ses derniers retranchements le ministre pour enfin avoie un chiffre sincère sur ce qui était présenté comme la grande mesure sociale de la réforme des retraites ».

    « Enfin la vérité éclate », s’est-il félicité. S’il salue « l’honnêteté » d’Olivier Dussopt d’avoir reconnu de mauvais chiffres, l’élu socialiste dénonce toutefois « l’enfumage qui a été fait autour de cette réforme », et plus particulièrement autour de cette mesure.

    Objectif de « justice sociale »

    Le 15 février, sur France Inter, le ministre du Travail avait pourtant assuré que « 40.000 retraités passeraient le cap des 85 % du SMIC ». Un chiffre contesté par l’opposition de gauche, qui avait dénoncé des « mensonges ». Jérôme Guedj, coprésident de la Mission d’évaluation des comptes de la Sécurité sociale, s’était même rendu au siège de l’institution pour mener une enquête, avait relaté Le Parisien.

    Pour le gouvernement, cette mesure doit remplir un objectif de « justice sociale », alors que la Nupes et le Rassemblement national s’opposent à ce texte. Après des débats tumultueux à l’Assemblée nationale, le projet est arrivé au Sénat, à majorité de droite. Mardi, les parlementaires de la chambre haute ont approuvé une version amendée du texte en commission. Ils commenceront à examiner la réforme dans l’hémicycle à partir de jeudi. Les débats s’achèveront le 12 mars.

    https://actu.orange.fr/politique/retraites-la-volte-face-d-olivier-dussopt-sur-le-nombre-de-beneficiaires-de-pensions-a-1200-euros-magic-CNT00000200uLL.html

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    1. Selon Emmanuel M., le compte n’y est plus… 200 000 bénéficiaires ? 40 000 ? Non 20 000 ? Voire seulement 10 000 ? Et 1200 eur, non pas un plancher…1200 eur, c’est un plafond de retraite pour ceux qui auront travaillé toute leur vie à un salaire égal au smic…
      Comme quoi quand on a des choix de société à défendre il faut bien jeter un regard sur les éléments comptables qui permettent de voir à quel niveau on met le curseur des ambitions….

      https://www.europe1.fr/politique/reforme-des-retraites-emmanuel-macron-donne-ses-consignes-avant-son-depart-en-afrique-4169785

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  8. Retraites : qu’est-ce qui pourrait bouger lors de l’examen au Sénat ?

    PAR CIDEFE | 1.03.23 | ACTUALITÉ, PARLEMENT, RETRAITES

    À deux jours du début de l’examen du texte en séance, tour d’horizon de Public Sénat des derniers points de négociation entre la majorité sénatoriale et le gouvernement. Régimes spéciaux, CDI sénior, carrières longues et maternité : voici les points qui pourraient être modifiés lors de l’examen de la réforme des retraites au Sénat.

    Au sommaire :

    Vers un durcissement sur les régimes spéciaux ? ;
    Le « CDI sénior » : la solution de la majorité sénatoriale sur l’emploi des séniors ;
    Quel sera le compromis finalement trouvé sur les carrières longues ?
    Vers une surcote pour les mères de famille ?

    Lire la suite sur Public Sénat

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  9. La main sur le coeur

    « Tout le monde a compris l’objectif de la réforme ? »
    Hum ?

    Pas sûr !
    Une réforme équilibrée ? De gauche et de droite? en même temps ?
    …bah non !
    C’est tout de droite.
    La main sur le coeur, les droites parlent toutes de  » nos retraites « , comme si elles y étaient attachées, alors qu’elles les ont attaquées sans cesse.

    L’ ancien numéro deux du Medef Denis Kessler déclarait en 2007 : » Il faut défaire méthodiquement le programme du CNR « .

    Dès 1987 c’est M Séguin qui veut les sauver en indexant les pensions uniquement sur l’inflation, et non plus sur l’évolution du salaire moyen brut.

    A l’ arrivée, en 25 ans, 20% de baisse de pension.
    Puis Rocard est venu les  » sauver « , puis Balladur, puis Juppé, puis Fillon, puis Hollande.

    C’est comme si un urgentiste vous sautait dessus dans la rue, où vous vous promenez tranquillement en bonne santé, pour vous faire du bouche à bouche afin de vous sauver, ensuite dix mètres plus loin c’est une infirmière, puis un pompier, puis cardiologue, à la fin vous vous retrouvez avec une bronchiolite, une gastro, et de l’herpès…

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  10. Patrick Kanner

    Réforme des retraites : la gauche du Sénat défendra une motion référendaire vendredi

    La veille de l’examen du projet de loi en séance publique, la gauche du Sénat s’apprête à « faire front » contre la réforme des retraites. Lors d’une conférence de presse, les présidents de groupes, socialiste, communiste et écologiste ont confirmé leur première charge contre le texte. Ils présenteront une motion référendaire vendredi matin.

    Au Sénat, les groupes de gauche ne sont pas rassemblés sous la bannière Nupes mais ça ne les a pas empêchés de se coordonner pour s’opposer à la réforme des retraites. Le texte arrive en séance publique jeudi 2 mars. Après le dépôt de deux motions de procédure jeudi (motion d’irrecevabilité, question préalable), vendredi, les sénateurs socialistes, écologistes et communistes déclencheront une troisième étape de leur stratégie d’opposition avec le débat d’une motion référendaire. « L’objectif est de dire aux Français puisque c’est votre avenir qui est en cause et bien on veut vous consulter. Cette motion sera présentée au nom des trois groupes de gauche qui la signeront », a confirmé le président du groupe PS, Patrick Kanner, lors d’une conférence de presse commune aux patrons de groupes de gauche de la Haute assemblée…

    PAR CIDEFE | 2.03.23 | ACTUALITÉ, PARLEMENT, RETRAITES

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  11. Orange avec Media Services, publié le jeudi 02 mars 2023 à 08h00

    C’est l’un des points clés de la réforme des retraites, en discussion au Sénat : l’emploi des seniors. Une étude de l’Unédic (l’Assurance chômage) confirme le lien entre l’âge légal de départ et le chômage des plus de 60 ans.

    Le report de l’âge de départ à la retraite de 62 à 64 ans pourrait causer un grand nombre de seniors au chômage.

    En effet, la réforme de 2010 qui a reporté le départ de 60 à 62 ans s’est traduit par 100.000 chômeurs de plus de 60 ans supplémentaires.

    L’âge légal de départ à la retraite entraine un pic de ruptures conventionnelles trois ans avant, ce qui correspond à la durée d’indemnisation chômage dont peuvent bénéficier les plus de 55 ans, selon cette étude de l’Unédic publiée sur son site mercredi 2 mars. L’Unédic observe, en 2021, une nette hausse à 59 ans de ces ruptures « d’un commun accord », qui donnent droit au chômage, alors même que l’âge légal de départ à la retraite est de 62 ans et que les plus de 55 ans peuvent être indemnisés pendant trois. Alors que 17% des ouvertures de droit au chômage à 56 ans le sont à la suite d’une rupture, ce chiffre grimpe à 25% à 59 ans, un taux « qui remonte au niveau de celui que l’on observe pour les trentenaires, catégorie d’âge la plus concernée par les ruptures conventionnelles », constate l’Assurance chômage.

    L’âge de départ a un impact sur les stratégies des entreprises pour se séparer des seniors

    Cette étude confirme l’hypothèse que l’âge de départ à la retraite et les règles d’assurance chômage ont un impact sur les stratégies des entreprises – parfois partagées par les syndicats et les salariés – pour se séparer de leurs seniors. En effet, en 2010 alors que l’âge légal de départ était encore de 60 ans, ce pic était atteint autour de 57-58 ans.

    Ce pic devrait se décaler à l’avenir sous l’effet des nouvelles règles d’assurance chômage. Depuis le 1er février, elles ont réduit la durée d’indemnisation maximale de 25% pour les nouveaux entrants au chômage, soit 27 mois au lieu de 36 pour les plus de 55 ans.

    Les ruptures conventionnelles plus chères ?

    Le gouvernement est aussi favorable, dans la réforme des retraites débattue au Parlement, à ce que les ruptures conventionnelles avant l’âge légal de départ soient soumises au même forfait social de 30% que celles intervenant après, alors qu’il n’est pour l’instant que de 20 %.

    Selon l’étude, le report de l’âge légal de 60 à 62 ans a entrainé entre 2010 et 2022 une hausse de 100.000 du nombre d’allocataires de plus de 60 ans. Parmi ces 100.000 indemnisés supplémentaires, 65.000 ont 60 ou 61 ans du fait du décalage de l’âge légal. Et 20.000 ont 65 ou 66 ans, du fait du décalage de l’âge d’annulation de la décote (de 65 à 67 ans) et de la hausse de la durée de cotisation.

    Enfin, l’étude s’intéresse à une disposition qui permet, sous conditions, de continuer à être indemnisé par l’assurance chômage au-delà de trois ans, jusqu’à l’accès à une retraite à taux plein, au plus tard à 67 ans. Fin juin 2022, sur les 72.000 allocataires indemnisés de 62 ans ou plus, 21.000 sont bénéficiaires de ce dispositif.

    https://actu.orange.fr/economie/reforme-des-retraites-100-000-seniors-au-chomage-supplementaires-a-cause-du-report-de-l-age-legal-magic-CNT000002050g6.html

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  12. Olivier Tartuffe

    Le ministre : « Mettre le pays à l’arrêt le 7 mars, ce serait laisser filer une crise qu’on peut encore éviter. L’absence de pluie depuis plus de 30 jours maintenant en France fait peser un risque extrêmement fort sur l’état de nos réserves en eau cet été. Mettre le pays à l’arrêt, c’est prendre le risque d’une catastrophe écologique, agricole, sanitaire, voire humaine dans quelques mois », a-t-il estimé à l’issue du Conseil des ministres.

    Le syndicaliste 1 : « Cette réforme est vraiment une calamité »
    « La sécheresse, c’est la faute des syndicats ? La crise sanitaire, idem ? Et pourquoi pas la défaite en Coupe du monde ? Vos tentatives pour décrédibiliser une mobilisation sans précédent contre les 64 ans sont grossières », a réagi Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT, sur Twitter.

    Le syndicaliste 2 : « En attendant l’invasion des sauterelles, la pluie de grenouilles à rajouter dans cette liste effarante des conséquences prévisibles du 7 mars. Merci Monsieur Véran, grâce à vous, l’opposition à la réforme des retraites vient de grimper de quelques points », a renchéri son homologue de la CFE-CGC, François Hommeril.

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    1. Eliane A.

      Pour Éliane Assassi, « la droite à des propos à l’égard des femmes qui sont méprisants »

      Éliane Assassi est revenue sur la proposition des Républicains de créer une surcote de 5% pour les mères de famille d’au moins deux enfants avec une carrière complète à partir de 63 ans.

      Pour la sénatrice communiste de Seine-Saint-Denis, « la droite a des propos à l’égard des femmes qui sont méprisant ». « En fait, les femmes ne seraient là que pour faire des enfants parce qu’il y a un problème démographique dans le pays », ajoute-t-elle.

      Avant de dénoncer: « C’est inadmissible, c’est violent pour les femmes ».

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