Que lisons-nous sur la belle invitation reçue hier de la mairie ?
Un marché « de Noël et des Playmobil« … au château Catinat !
Inaugurons donc de façon anticipée cette belle action culculturelle de la ville en republiant la saga des Playdexia… car c’est bien nous qui sommes à l’origine de l’arrivée des Playmobil à Saint Gratien !
Ils en ont rêvé… nous l’avons fait… un vrai conte de Noël à découvrir ci-dessous !
Play Dexia à St Gratien : game over !
Un beau matin, le Maire d’une charmante commune décida de se rendre à sa banque, après une opération de phoning–marketing…
Il décida de dire « Yes » à son établissement de crédit et de signer un contrat démoniaque en « toute connaissance de cause »…
Le maire n’en rendit compte que bien après à son conseil municipal…
Le conseil municipal adopta enthousiaste la mesure. Comme toutes les mesures du maire.
La « bonne affaire » se compliqua, car il s’avéra que la commune se retrouva endettée à taux variable non capé. Alors même que le Franc suisse atteignit des sommets alpins…
Loin d’être « maîtrisés et sous contrôle » les frais financiers de la ville corrélés aux cours de devises étrangères creusèrent le budget de la commune… Contre 520 patates, le maire avec son secrétaire général tenta de geler le taux très variable des emprunts..
Opération qui ne pouvait durer qu’un temps… la banque n’étant d’une part pas complètement philanthrope et d’autre part, elle–même était engagée vis–à–vis de ses propres créanciers…
Pire, la banque leur refourgua encore un autre emprunt à un taux fixe élevé !
Pris à la gorge par le niveau des taux, la ville leva alors le pied sur ses investissements. Les biens communaux s’en ressentirent et se dégradèrent, comme ici la salle Georges Brassens…
La ville dut se départir de ses actifs : un des cars communaux réservés aux sorties scolaires dut être supprimé du parc automobile de la commune, ce qui eut pour conséquence une diminution sensible des sorties organisées au profit des élèves des écoles…
La forte augmentation des tarifs périscolaires se traduit par une diminution de la fréquentation des services publics municipaux, dont les cantines scolaires. Les habitants se remirent à cultiver sur leur balcon leurs légumes….
Ils transformèrent les espaces verts et ronds–points de la ville en jardins partagés et autres espaces à cucurbitacées….
C’est alors qu’un irréductible groupe de villageois s’organisa en Comité de surveillance et d’audit de la dette de la commune….
Ils prirent d’assaut la documentation sur les emprunts toxiques et partirent à l’abordage de la complexité du sujet…
Renaut Baphèse, tous droits réservés.
À suivre…
Yes !
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Re – YEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEES !
Jacques Villéglé.
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