La Lettre du Front de Gauche

Article actualisé

Voici le numéro d’été de « La Lettre du Front de Gauche ».  Cette « Lettre » n°48 est en cours de distribution. Un seul sujet pour cette publication : la jeunesse, entre accès à la cantine, tarifs de celle-ci, séjours de vacances et tentative d’interdiction de sorties scolaires pour certains parents d’élèves. Cette « Lettre » a été mise à jour pour traiter de la récente actualité du quartier des Raguenets.

Bonne lecture et merci de vos commentaires !  

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Lettre 48-4

 

7 réflexions sur “La Lettre du Front de Gauche

  1. Municipales : 51 % des Français comptent voter pour leur maire actuel

    À quelques mois des élections municipales, les Français sont toujours très attachés au statut du maire.

    Selon une enquête Opinion Way pour l’Union nationale des centres communaux d’action sociale (UNCCAS) et et Public-Sénat, 68 % des Français considèrent que leur maire est l’élu qui comprend le mieux leurs préoccupations, loin devant les conseillers régionaux (7 %) et les conseillers départementaux (6 %). Emmanuel Macron, président de la République, n’arrive qu’en quatrième position, ex aequo avec les députés (5 %). Les sénateurs, eux, sont loin derrière puisque seulement 1 % des Français considèrent qu’ils comprennent le mieux leurs préoccupations. (Jacqueline ! tu es jugée hors-sol !)

    Ce résultat qui s’explique certainement par le ressenti de leur action par les administrés. 71 % des Français jugent que leur maire a un bon ou un excellent bilan. Même si 18 % d’entre eux le considèrent médiocre et 8 % le jugent mauvais, soit un total négatif de 26 %.

    Pourtant, près de la moitié des Français (44 %) n’a pas l’intention de voter pour leur maire actuel ou le candidat qu’il soutiendrait. Parmi les raisons que ces Français évoquent, le renouveau politique arrive en tête, suivi d’une non-appréciation de la personnalité du maire (Juju ! Surveille tes réponses en réunion de quartier !) et un mauvais bilan de ce dernier. Une aubaine pour les partis politiques qui ont peu d’élus en comparaison avec leur force sur le plan national, comme La République en marche, La France insoumise ou le Rassemblement national. Néanmoins, 51 % des Français comptent voter pour leur maire actuel, tandis que 5 % ne se prononcent pas.

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  2. Vive le vélo ? Oui, dans le Vexin !
    http://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/vexin-et-si-le-dimanche-etait-reserve-aux-velos-21-06-2019-8099994.php

    Vexin : et si le dimanche était réservé aux vélos ?
    Dans le Vexin, déjà très prisé des cyclistes, certaines routes pourraient être réservées aux deux-roues, un dimanche par mois. Le Parc Naturel régional y travaille.
    Le parc naturel régional du Vexin français souhaite développer la pratique du vélo sur son territoire. LP/Marie Persidat

    Il suffit de se balader un samedi ou un dimanche matin dans le Vexin pour mesurer le potentiel de la région en matière de cyclisme. Nul tracteur à l’horizon. En revanche au milieu des étendues de parcelles cultivées apparaissent régulièrement des vélos.
    Ils sont seuls ou en groupe, vêtus de tenues de sport colorées ou de simples vêtements décontractés. Ils empruntent les chemins, les petites routes, toutes les voies qui s’offrent à eux pour découvrir ce territoire en pédalant. Le parc naturel régional (PNR) du Vexin rêve de développer encore davantage cette pratique. Et pourquoi pas, en créant un rendez-vous du vélo une fois par mois.
    « Mon but c’est d’arriver à le faire un dimanche par mois »
    « Nous pourrions réserver certaines routes aux cyclistes à des dates fixes », explique Marc Giroud, président du PNR et maire (LREM) de Vallangoujard. Mon but c’est d’arriver à le faire un dimanche par mois. À Paris par exemple, on sait que les Champs-Élysées sont piétons tous les premiers dimanches du mois. Pourquoi ne pas faire la même chose pour les vélos dans le Vexin ? »
    Le président du parc estime qu’interdire certaines voies aux voitures, durant une journée, ne pénaliserait pas vraiment les habitants. « Le réseau de routes entre les villages du Vexin est surdimensionné. Par exemple, moi pour aller de Vallangoujard à Livilliers je peux emprunter trois chemins différents. Cela pourrait être un véritable atout de réserver l’une de ces routes aux circulations douces parfois. C’est dans l’air du temps, écologique, bon pour la santé et bon pour l’attractivité du territoire. Et puis même pour les habitants cela a un vrai intérêt. C’est quand même sympa d’avoir un petit bout de route pour que le petit dernier puisse aller apprendre à faire du vélo. »
    Une meilleure cohabitation entre le vélo et la voiture
    Le but n’est d’ailleurs pas forcément de bannir tout véhicule à moteur mais d’améliorer aussi la cohabitation. Des panneaux indiquant la présence de cyclistes pourraient inciter les chauffeurs à ralentir. « En lien avec le département, peut aussi imaginer l’installation de feux du dimanche là où il y a des croisements avec des départementales », continue Marc Giroud.
    Cette mixité de routes, de tailles différentes, constitue sans doute la principale difficulté à surmonter lorsque l’on part à l’assaut du secteur en pédalant. « Pour tout l’Ouest de la région parisienne, le Vexin est un circuit privilégié, c’est le plus grand terrain de jeu disponible à vélo, il y a une vraie demande », constate David Agrech membre de l’association Allez-y à vélo.
    Chaque cycliste se créé son propre itinéraire
    « Il y a beaucoup de petites rues très peu fréquentées. Mais le problème c’est que quand on ne connaît pas le secteur, on peut très vite se retrouver sur une grosse départementale. » L’association Allez-y à vélo propose, elle, une autre solution : le développement du système point-noeud (« knuppunt » en néerlandais) très utilisé en Belgique et au Pays-Bas et récemment inauguré dans le Nord. Il s’agit simplement d’établir une cartographie des routes les plus adaptées aux cyclistes et d’identifier les carrefours les reliant. À partir de ce réseau, chaque cycliste se crée son propre itinéraire. « C’est un système qui pourrait être très pratique dans le Vexin car cela permet à ceux qui ne connaissent pas la région de circuler sur des routes relativement sûres. »
    EXPLOREZ LA SECONDE BOUCLE DU VEXIN
    Les amateurs de deux-roues peuvent déjà profiter de circuits entièrement pensés pour eux dans le Vexin. Rappelons que le département est traversé par la célèbre voie Paris-Londres, très prisée des amateurs de la petite reine.
    Adossé à cet itinéraire, le parc naturel régional est en train d’aménager des « boucles » permettant de découvrir les richesses du territoire. La première du genre permet de parcourir 33 km autour d’Auvers-sur-Oise. Elle a déjà conquis un large public : 21 880 passages ont ainsi été enregistrés en 2018 au niveau de la ville de Van Gogh. Une seconde boucle vient d’être inaugurée, autour de Théméricourt.

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  3. Trotsky

    Les prix de la cantine sont élévés à StGratien, peut être à cause de la hausse du rouble ?

    Le rouble a bénéficié des exportations de gaz naturel liées à l’hiver, passant de 69,8 à moins de 64 face au dollar. Le « bonne dynamique des comptes courants et […] la situation des taux réels » pourraient favoriser la poursuite de la hausse de la monnaie plus longtemps qu’à l’accoutumée, remarque un analyste chez Deutsche Bank.

    L’Agefi – 24/06/2019

    Le rouble pourrait poursuivre son rallye bien au-delà du premier trimestre…

    Ceci dit heureusement que la ville n’a pas contracté d’emprunt dont le taux d’intérêt est corrélé au cours du rouble..

    Après le TOFIX, le TOTROTSKYX ?

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  4. Canicule à l’école
    Il n’y a pas qu’en SSD qu’il fait très chaud dans les écoles. Et à St Gratien ? Rien de prévu de particulier, sauf l’annulation des activités de plein air… Sans clim évidemment, mais aussi sans volets ni même rideaux assez épais pour se protéger de la chaleur, sans autre moyen de boire que le robinet des toilettes… bon courage aux enfants et à leurs profs ces jours-ci !
    https://www.francetvinfo.fr/meteo/canicule/je-n-ai-ni-stores-ni-volets-ni-ventilateurs-la-canicule-inquiete-les-profs-de-seine-saint-denis_3505697.html

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  5. L’opposition dénonce les emprunts toxiques contractés de 2001 à 2008, sous le 1er mandat de G. Mothron, qui explique qu’autant d’emprunts toxiques l’ont été sous le mandat suivant.
    La question des emprunts toxiques est devenue très politique à 9 mois des municipales. (©La Gazette du Val d’Oise)

    À Argenteuil (Val-d’Oise), c’est un sujet financier et politique qui a agité le dernier conseil municipal, mercredi 26 juin.
    C’était le rapport de la mission d’information et d’évaluation sur les emprunts, créée à la fin 2018.
    Ces emprunts toxiques, ou structurés, de nombreuses communes en ont souscrits auprès de la banque des collectivités locales Dexia, avant de voir les taux d’intérêt exploser…
    Face aux accusations de l’opposition, comme quoi l’ancien Georges Mothron aurait plombé les finances en souscrivant de tels emprunts durant son premier mandat de maire, de 2001 à 2008, une mission indépendante a été créée.
    Pierre Abrinas, adjoint au maire (ressources humaines, commerces de proximité), a rappelé que la mission était composée de dix membres, avec la présence de l’opposition avec Frédéric Lefebvre-Naré. Un rapport de 43 pages en est sorti.
    Pierre Abrinas a expliqué dans ses conclusions, que la mission avait souligné « la grande complexité de l’analyse des opérations (…) Évaluer le coût global des opérations des produits structurés n’est pas réalisable ».
    « Une farce », selon le Ps
    Il était préférable selon mission de se pencher sur l’état de la dette actuelle, « largement assainie. Plus de 92 % de la dette est classée sans risque à la fin 2018 ».
    Une conclusion dénoncée par l’opposition. Fabien Bénédic, conseiller départemental, pour le groupe d’opposition Ps Dvg, a évoqué « une farce », une « mascarade ».
    Frédéric Lefebvre-Naré, élu d’oppostion indépendant, a parlé d’un « faux ».
    « Un faux », selon Frédéric Lefebvre-Naré
    Selon l’élu, le vrai chiffre, c’est « 93 millions d’€ de surcoût pour la seule dette de la Ville (…) Nous aurions pu construire trois écoles primaires, trois écoles maternelles, trois centres de loisirs, une nouvelle piscine et une nouvelle salle Jean-Vilar. »
    « Si vous le contestez, allez en justice » rétorque Georges Mothron
    Je nie que ce rapport soit un faux ! Si vous le contestez, allez en justice ! », a lancé Georges Mothron.
    Je n’ai jamais nié avoir souscrit des emprunts toxiques, mais sur les emprunts les plus toxiques, cinq ont été pris sous notre mandat, avec une connaissance pas totalement éclairée des risques, et cinq autres après 2008, pris par la majorité suivante. »
    Les échanges se sont alors enflammés, le chef du groupe d’opposition Ps-Dvg, l’ancien maire Philippe Doucet (Ps), traitant Georges Mothron de « menteur ».
    « Je suis peut-être menteur mais moi, je ne suis pas mis en examen », a répliqué Georges Mothron.
    Ambiance…

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